« Enjoliveur en roue libre », premier EP d’OPA [electro / Rennes]

communiqué
Gusti Riddim ouvre le premier EP d’Opa Enjoliveur En Roue Libre avec un étrange synthé dubtechno qui coule tout au long du morceau. Une atmosphère psychédélique complexe et complexe s’élève avec un gros kick de type 808, évoluant avec des rythmes brisés. Alors qu’un extrait de Sons of Mischief surgit à la fin du riddim, des âmes lointaines entourent l’atmosphère et tombent dans amen briseant les schémas brisés.
Une esthétique futuriste réalisée dans Automotwerk avec un morceau percussif et orienté club. Ligne de basse vacillante, voix futuristes glitchées, accords ravy insaisissables et TB-303 donnent un morceau coloré. Allez vite dans l’entonnoir !
Des voix brisées et des rythmes saturés arrivent sur Typhoon avec divers motifs de batterie. Pas de ligne de basse, seulement des grosses kicks ! Des synthés saturés explosent dans la seconde moitié de la chanson, initiant un processus de pacification de la guerre en cours. Cloches angéliques et acide réverbéré viennent soutenir l’effort.
Le titre Enjoliveur En Roue Libre s’ouvre sur une longue intro avec une mélodie acide plus orientée transe qui évolue autour de motifs breakbeat, de voix transes et d’une mélodie moog qui s’engouffre. La chanson tombe après une montée en puissance épique dans une voie techno-trance rapide. Aucune idée si le morceau est fait pour danser ou juste pour vous faire foutre la tête, mais assurez-vous de ne pas perdre vos roues.
Bruma Houat a clôturé l’EP avec un morceau intense et émotionnel écrit en deux parties, commençant par un voyage ambiant orageux avec des sons percussifs lointains et des synthés de couverture complexes se précipitant tout autour de l’auditeur. Vient ensuite la lourde brume marine dans laquelle on entend la voix d’Aurélien Barreau, et des rythmes de toms bruyants et traînants construisent le morceau. Le trou de la piste entre soudainement dans un rythme rapide de jungle avant de disparaître.